La Primer Ministro de Quebec, Paulin Marois
de Visita Económica en México
de Visita Económica en México
Pauline Marois voló la mañana del miércoles a México con sesenta empresas en busca de mejorar las relaciones comerciales entre Mexico y Quebec. Esta que es la primera misión commercial y comienza en Guadalajara, ciudad que es conocida por sus empresas de alta tecnología.
La Ministro se reunirá con el gobernador del estado en La Casa Jalisco. La misión de
cuatro días luego continuar hacia la Cd. de México en donde se mantendrán hasta el sábado.
En donde la primer ministro se reunirá con ministros del gobierno federal mexicano.
La delegación de empresas
Quebec participará en varias actividades de hermanamiento con empresas mexicanas."México es un mercado muy atractivo para muchas empresas quebequenses que buscan nuevos mercados para sus productos o servicios, especialmente en los sectores más innovadores de alto valor añadido", dijo el ministro de Desarrollo Económico, Elaine Zakaib en un comunicado de prensa.
El número de empresas de Quebec que exportan a México hoy al día casi se ha cuadruplicado desde 2000.
En 2012, México fue el quinto socio global de Quebec y el primero en América Latina. El comercio de bienes entre Québec y México ascendió a $ 4,9 mil millones.
Al igual que Estados Unidos, México
es un socio de Canadá bajo el Tratado de Libre Comercio de América del Norte
(TLCAN
La première ministre du Québec, Pauline Marois en visite au Mexique
Pauline Marois s’envole mercredi matin au Mexique en compagnie d’une soixantaine d’entreprises pour améliorer les relations commerciales du Québec avec ce pays. Cette première mission commerciale commence à Guadalajara réputée pour ses entreprises en haute technologie.
Elle rencontrera le gouverneur de l’État à la Casa Jalisco. La mission de quatre jours va ensuite se poursuivre à Mexico jusqu’à samedi. La première ministre doit y rencontrer des ministres du gouvernement fédéral mexicain.
La délégation d’entreprises québécoises va participer à plusieurs activités de jumelage avec des compagnies mexicaines.
«Le Mexique est un marché très intéressant pour plusieurs entreprises québécoises en quête de nouveaux débouchés pour leurs produits ou services, en particulier dans les secteurs les plus innovants et à haute valeur ajoutée», a affirmé la ministre du Développement économique, Elaine Zakaïb, dans un communiqué de presse.
Le nombre d’entreprises québécoises qui exportent aujourd’hui au Mexique a presque quadruplé depuis 2000.
En 2012, le Mexique était le 5e partenaire mondial du Québec et le 1er en Amérique latine. Les échanges commerciaux de biens entre le Québec et le Mexique se chiffraient à 4,9 milliards $.
Tout comme les États-Unis, le Mexique est un partenaire du Canada dans l’Accord de libre-échange nord-américain (ALENA).
Des entreprises comme Bombardier Transport sont du voyage, mais aussi Pâtisserie Gaudet, qui espère percer le marché mexicain avec ses tartes.
La vice-présidente et actionnaire de l’entreprise d’Acton Vale, Lyne Lamothe, a affirmé que des contacts ont été pris afin qu’elle puisse rencontrer pour la première fois, à Mexico, des dirigeants des filiales mexicaines de Wal-Mart et Costco.
Pâtisserie Gaudet, qui emploie 55 personnes, est déjà en train de finaliser une entente avec H-E-B, une entreprise américaine qui dispose de magasins au Mexique où les tartes québécoises seraient distribuées.
Si les consommateurs québécois préfèrent la tarte au sucre, Mme Lamothe a affirmé que les informations dont elle dispose indiquent que le vaste marché mexicain, un pays de 115 millions d’habitants, serait intéressé par la tarte aux pommes, cerises et bleuets. « Les Mexicains, ils ont la dent sucrée, a-t-elle dit. La pomme, c’est la numéro un, ensuite j’espère leur présenter la pomme caramel. » Pâtisserie Gaudet estime qu’une incursion au Mexique pourrait accroître ses ventes de 15 %.
Le secteur des hautes technologies présent aussi
L’entreprise Créaform tentera aussi de profiter de sa participation à la mission pour proposer son nouveau scanneur 3D aux sociétés mexicaines du secteur des hydrocarbures.
L’appareil permet l’inspection d’oléoducs afin d’établir leur niveau de corrosion, a expliqué le responsable régional de l’Amérique latine, Louis-Étienne Bouchard-Pouliot.
M. Bouchard-Pouliot a affirmé que Créaform est déjà présent sur le marché mexicain depuis quelques années. L’entreprise mise sur la mission pour promouvoir son scanneur auprès des dirigeants de Pemex, le monopole d’État mexicain du secteur pétrolier.
Créaform estime qu’un ou deux appareils, dont le prix unitaire oscille entre 50 000 $ et 100 000 $, pourraient être vendus au Mexique cette année.
« La percée de ce nouveau produit-là est fulgurante, a dit M. Bouchard-Pouliot. Il y a une entreprise au Canada qui en a acheté un, ensuite trois, pour finalement en acheter 20. C’est un peu vers ça qu’on s’en va faire avec le Mexique. »
Mme Marois effectuera cette semaine son quatrième déplacement à l’étranger, mais il s’agit de sa première mission composée d’entreprises.
Son prédécesseur libéral Jean Charest était lui aussi allé au Mexique avec des représentants du monde des affaires, en 2004, pour développer les échanges commerciaux.
Ouverture de la chambre de commerce Québécoise de la Riviera Maya à Playa del Carmen dans le Quintana Roo.
Le grand Journal est heureux de souligner l’excellente initiative de Frank Bizier qui vient de créer la chambre de commerce Québécoise. La mission est simple: créer une synergie et favoriser les partenariats entre le Québec et le Mexique.
L’énergie de Franck Bizier, son président, et de Nancy Gilbert, la vice- présidente, est débordante; ils ont de nombreux projets d’activités et développent une très grande vision pour les membres du Québec et du Quintana Roo.
Soyez curieux et allez consulter leur site web :
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